Quand le monde entier nous persécute…
Cette phrase que beaucoup d’entre vous ont sûrement dû entendre un jour n’aura jamais été aussi véridique. De plus en plus de femmes, des jeunes comme des adultes, décident de prendre leur courage à deux mains dans le but de porter plainte contre leur agresseur. De quoi peuvent-elles être traumatisées ? Selon des études, les femmes sont de plus en plus enclines à porter plainte contre un abus sexuel, voire même plusieurs. Ce traumatisme, souvent étouffé par leur conjoint ou par un traumatisme, est une véritable épine. Et, pour cela, il ne faudra pas hésiter à consulter des professionnels de santé, non pas pour guérir le mal directement, mais surtout, pour écouter.
Porter plainte contre abus sexuel : la première étape
Certes, divulguer cette information n’est pas quelque chose de facile. Cela demande pour beaucoup de femmes et d’hommes, oui, personne n’est épargné, un sacrifice, une mise à nu. En revanche, les différents aveux aux forces de l’ordre vous permettront d’enclencher une première étape, dénoncer votre persécution et votre traumatisme d’abus sexuel.
Mesdames, messieurs, lorsque vous irez porter plainte, l’agent de l’ordre devra obligatoirement prendre votre plainte. Bien que cela ne soit pas facile, nous vous conseillerons de répondre à la totalité des questions que vous posera l’agent du service public pour mener à bien la plainte et l’interpellation de la personne en question.
Par la suite, une cellule psychologique vous sera dédiée, avec des consultations en compagnie des services sociaux pour votre relogement et avec un psychologue pour vous écouter. Toutes ces différentes étapes seront plus ou moins lourdes, mais vous permettront de gérer plus aisément votre traumatisme dû à un abus sexuel.
Se faire écouter par les bonnes personnes
Les bonnes personnes ne sont pas toujours celles que l’on croit. D’ailleurs, plusieurs expériences sociales montrent que les situations complexes ou indécentes comme l’abus sexuel ne sont pas toujours enregistrées par le cerveau. La personne détourne le regard ou n’écoute pas totalement.
C’est pour cela que des professionnels de santé, comme les psychologues par exemple, les sophrologues pourront remplir cette fonction. Lorsqu’une personne subit d’un tel traumatisme, un abus sexuel, cette dernière a principalement besoin d’être écoutée dans le but de répondre par la suite à ses questions.
Mais, est-ce qu’une personne ayant subi un abus sexuel est faible ? L’est-elle mentalement ou physiquement ? Aucun des deux !
De nombreux sites internet spécialement conçus pour les personnes ayant eu ce genre de traumatisme démontrent bel et bien que les personnes sont en réalité bien plus forte qu’il n’y paraît, car elles ont décidé un jour de se lever. N’hésitez pas à consulter aussi ces différents sites internet, et pourquoi pas, vous diriger par la suite vers un groupe de parole de femmes et d’hommes ayant, eux aussi, vécus ce genre de traumatismes.
Un abus sexuel n’est pas facile à soigner, mais avec du temps, de l’écoute et de la patience, les maux se transformeront en une force.
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